LSD et soins palliatifs dans les années 1960, un rendez-vous manqué ?

Découvert en 1943 par le chimiste suisse Albert Hofmann, LSD fut rapidement reconnu pour ses effets thérapeutiques, notamment dans cadre de la fin vie. Puissant antalgique, il permettait aux patients phase terminale cancer d’appréhender leur propre mort avec plus sérénité et favorisait communication les proches personnel soignant. Faisant partie des médicaments étudiés l’époque, nombreuses études champ psychiatrie établirent une méthodologie sûre résultats prometteurs, appelée “thérapie psychédélique” qui servirent base médecins charge Ces travaux influencèrent l’émergence discipline soins palliatifs remirent question prise corps médical mettant l’accent sur bien-être témoignage du patient. Pourtant, à années 1960, ces recherches furent définitivement interrompues suite au classement substance liste stupéfiants. De nos jours, nouvelles sont nouveau autorisées différents pays monde, réévaluer, grâce progrès scientifiques, bénéfices potentiels appliqué palliatifs. Discovered in by the Swiss chemist was quickly recognized for its therapeutic effects, especially context of end life. Powerful analgesic, it allowed terminally ill to apprehend their own death with more serenity and promoted loved ones nursing staff. one most studied drugs time numerous studies field psychiatry established a safe methodology promising results, called “psychedelic therapy” which served as basis physicians at This work influenced emergence palliative care into management medical profession an emphasis on well being testimony However, 1960s, this research definitively stopped following classification list narcotics. Nowadays, new are again authorized different countries world, re-evaluate, thanks scientific progress, potential benefits applied care.